Sophrologie
animé par Isabelle Bréhier, tarif: 80€ adh/ 85€ non adh, salle des genêts, 10 samedis de 10h à 11h15
Les samedis 8, 15, 22, 29 novembre, 6 décembre 2025, 10, 17, 24, 31 janvier et 7 février 2026
Expérimentez cette méthode de relaxation en profondeur
Qi Gong
animé par Maryannick LE GOUGUEC, tarif 30€ adh, 35€ non adh, salle de motricité (pôle enfance jeunesse), 4 mardis de 19h30 à 21h, à partir du 23 septembre 2025
Un stage pour découvrir le QiGong en expérimentant les différentes pratiques sur les 4 premières séances de la saison (avec possibilité de poursuivre à l’année)
Aquarelle
animé par Agnès Pioger de l’atelier « Par petits bonds », tarif 60€ adh/65€ non adh (fournitures non comprises), 4 samedis de 9h30 à 12h, salle anim’art
Les samedis 27 septembre, 4,11 et 18 octobre 2025
Venez découvrir la pratique de l’aquarelle de façon libre et créative, loin des contraintes académiques.
Matériel nécessaire: palette d’aquarelle, pinceau, papier (possibilité d’achat groupé?)
Valoriser vos jeans
animé par Marie-Anne Dulain, tarif: 30€ adh / 35€ non adh, 3 samedis de 14h à 16h, salle anim’art
Les samedi 13 décembre 2025, 10 janvier et 28 mars 2026
Confectionner divers accessoires à partir de jeans et autres vieux tissus récup’ , en exploitant les coutures, en sublimant les marques d’usure, les poches et les étiquettes des vêtements usagés
Qu’est-ce que le boro japonais ?
Le boro (ぼろ) est une catégorie de textile japonais fait de morceaux de tissus qui ont été raccommodés ou cousus ensemble. Le terme est dérivé du japonais boroboro, ce qui signifie « quelque chose en lambeaux ou réparé », l’équivalent de « haillon » ou « guenille ».
Boro en est ainsi venu à désigner la manière prédominante de porter les vêtements par les paysans pauvres, qui, par nécessité économique, les réparaient sans cesse avec des chutes de tissu de rechange[7]au lieu de les jeter. Dans de nombreux cas, un vêtement boro était transmis de génération en génération, pour finalement ressembler à un patchwork après des décennies de réparation. L’utilisation de colorants indigo (japonais : aizome) était courante[4]. Ce vêtement illustre également l »esthétique japonaise du wabi-sabi, en ce sens que le tissu reflète la beauté de l’usure et de l’utilisation naturelle[8].
Ces assemblages textiles, qui résultaient de la misère, sont aujourd’hui quasiment considérés comme des œuvres d’art et peuvent donner lieu à un style nouveau.
Qu’est-ce que le sashiko japonais ?
Le sashiko (刺し子, du japonais « petits bâtons » ou « petits points ») est une technique japonaise de broderie. Utilisée historiquement pour rapiécer des vêtements, les rendre plus solides ou les matelasser, elle sert également à des fins décoratives.
Les modèles utilisés reprennent pour la plupart des éléments géométriques, parfois stylisés, comme des vagues, des montagnes, des bambous, des motifs de losanges ou d’éclairs, d’hexagones ou de fleurs.
Le boro, c’est la technique de rapiéçage, que l’on peut comparer à du patchwork. Le sashiko, c’est une technique de broderie qui peut être utilisée pour simplement embellir les pièces mais aussi pour les réparer ou les renforcer.
Initiation au SELF DEFENSE
animé par Magaly Dodard Trévarain, tarif: 30€ adh / 35€ non adh, salle de motricité du pôle enfance jeunesse, 3 mercredis de 19h à 20h30, pour adultes et ados (année 2010)
mercredi 5, 12 et 19 novembre 2025: Venez découvrir quelques pratiques de base